mercredi 29 juin 2011

Halte au bétonnage à Marsannay

Marsannay-la-Côte possède encore des vignobles, quelques terres agricoles, des vergers et des jardins. Mais depuis 2003, l'ancien maire, puis le nouveau, ont en tête d'urbaniser les vergers et les jardins de saint Urbain.


Il s'agit de très bonnes terres agricoles, avec des vergers et des puits dont certains ont été construits au 18ème siècle.













Tandis que certains se mobilisent contre le bétonnage à outrance dans le quartier Montchapet, l'association "Défense pour la qualité de vie et de l'environnement" à Marsannay La Côte se mobilise pour conserver ces bonnes terres, ce lieu de vie.

Mais quand les élus prendront-ils conscience de la nécessité de sauvegarder les terres arables?

dimanche 26 juin 2011

"La concertation n'est pas une codécision"

Vendredi 1er juillet aura lieu le nouveau rendez-vous concernant le Plan Climat Energie Territorial de Dijon.













Pour rappel, au printemps 2010, près de 300 personnes (élus, industriels, associatifs, citoyens, ...) avaient réfléchi pour trouver des moyens d'action pour diminuer nos émissions de CO2 à l'échelle locale. Un livre blanc (publié en octobre 2010) avait retranscrit fidèlement les remarques de tous les intervenants.


Au mois de février 2011, monsieur Masson avait présenté au conseil du Grand Dijon la Stratégie 2011-2020 du PCET qui en a découlé. (document qui semble disponible depuis peu sur le site du Grand-Dijon).

De très nombreux points sont à noter sur ce document "Stratégie 2011-2020", mais le plus emblématique se trouve incontestablement à la page 19, avec ces deux notes:
- "la concertation n'est pas la recherche du consensus systématique: toutes les opinions sont examinées, mais il n'est pas forcément donné suite à toutes les demandes exprimées.
- "La concertation n'est pas une codécision: l'autorité publique exerce sa responsabilité en prenant ensuite ses décisions en toute connaissance de cause."
Alors que monsieur Masson présentait les stratégies comme "le fruit d'une concertation large".

Cette deuxième note en dit long sur la façon dont les choix ont été fait entre le livre blanc et la stratégie 2011-2020... Par exemple, à la page 16 du livre blanc, il est fait allusions à la problématique de la publicité ("distribuer des autocollants stop-pub" et "éliminer les panneaux publicitaires dans les rues"). Ces propositions ont purement et simplement disparues dans les stratégies. .


Pourtant comme l'avait fait remarquer madame Hervieu lors du conseil du Grand Dijon au mois de février, il est indispensable de réduire la production des déchets en agissant à la source. Par exemple en diminuant les prospectus en boîtes au lettres, ainsi qu'arrêter l'incitation à la sur-consommation via l'affichage publicitaire.
Un point étonnant aussi se trouve page 39 du document stratégies. On peut y lire optimiser la consommation d'espace pour limiter l'étalement urbain", pour la "préservation des terres agricoles." et sur la même page, un peu plus haut: "concernant les zones d'activités, "400 ha suplémentaires sont prévues à l'horizon 2012" (alors qu'il y en a déjà 1300 ha). Mais comment trouver ces 400 ha, si ce n'est sur des terres agricoles?
Concernant le logement, à la page 28, dans la rubrique "s'assurer de la qualité des nouveaux bâtiments construits sur le territoire", on peut lire: "les objectifs: construction de 100% de logements neufs BBC de 2011 à 2015, et engagement du territoire vers des logements neutres au-delà de 2015 avec objectif d'atteindre 50% au moins de logements neutres dès 2017". Il faut savoir que le label BBC sera obligatoire à compter de 2013 pour toute construction de logement neuf (source: norme-bbc.fr). Ces propositions suivent le calendrier réglementaire national, alors qu'il est possible de construire les bâtiments passifs aujourd'hui. Pourquoi attendre?

Vendredi prochain, on se demande de quoi il peut être discuté si "la concertation n'est pas une codécision". La concertation écologique est morte à Dijon!

mercredi 22 juin 2011

Des vacances écologiques, est-ce possible?

Mardi prochain, comme maintenant tous les derniers mardi du mois (sauf juillet et août) aura lieu une soirée de discussions sur l'écologie.
A partir de 20h, le thème portera sur les vacances, à quelques jours des grands départs. Même si la plupart des dijonnais ont déjà préparé leurs vacances, il est encore possible d'apprendre à être en vacances différemment.

"Tourisme et tourisme
Chacun voyage à sa manière et chaque façon de voyager entraîne des conséquences environnementales différentes. Aller faire un parcours de golf à l'autre bout du monde, dans une région aride de surcroît, n'est pas vraiment ce qu'il y a de plus respectueux pour l'environnement. Aller dans un pays où les ressources environnementales sont limitées, avec un système de traitement des déchets peu développé, où la population vit avec le minimum, et y garder son train de vie occidental peut être vu comme une action prédatrice. Les locaux ne sont pas dupes de ce train de vie et cela peut engendrer des jalousies, de nouveaux besoins, de la frustration et de l'amertume. Le voyageur qui utilise les infrastructures du pays pour se déplacer ou se loger, sans utiliser les structures dédiées aux touristes occidentaux, se retrouvera assurément plus proche du mode de vie des habitants et donc plus proche d'eux. (...) Par ailleurs, le voyageur qui se propulse par ses propres moyens transporte le strict nécessaire et n'est donc pas du tout dans une logique de consommation. De plus, tout le temps qu'il passe à marcher, pédaler, etc..., il ne chauffe pas son logement, n'utilise pas sa voiture, ne fait pas de shopping... Cet ascétisme a un énorme rôle pédagogique pour soi-même: on se rend compte que même avec peu de chose, on vit bien plus intensément, on jouit de chaque instant. Pour la plus part des voyageurs nature, ces moments-là sont les plus forts de leur existence." (extrait de "Le voyage écologique", magazine Les Carnets de l'Aventure, Hors série n°3, avril-mai-juin 2008)

Une autre lecture intéressante pour éviter de se comporter comme un touriste parasite est le manuel de l'anti-tourisme. "
"L'industrie touristique n'a jamais été aussi florissante. Une bonne nouvelle ? Pas vraiment... Car, si le voyage est philosophie, le tourisme est économie : le premier explore, le deuxième exploite. Il enserre les individus et les espaces dans les filets d'une organisation forcenée et impose le devoir de vacances comme une compensation thérapeutique : désormais, on part pour mieux supporter à son retour le joug d'une existence sans saveur. Ce manuel corrosif démasque les effets pervers d'un tourisme consumériste et grégaire, et nous appelle à renouer autrement avec l'aventure, l'évasion et la créativité."

A quelques jours des vacances, il est encore temps de se poser la question "quel tourisme pour une planète fragile?"

mardi 21 juin 2011

Halte au bétonnage dans le quartier Montchapet

Un simple permis de construire délivré le 11 mai dernier va t il mettre le feux aux poudres du bétonnage intensif dans l'agglomération dijonnaise?

Rue Joseph-Bellesoeur, dans le quartier Monchapet à Dijon, le promoteur immobilier SOPIRIM achète une maison et son terrain en vue d'y construire 25 logements. Les voisins, informés par l'affiche ci-dessus s'inquiètent des conséquences. Et ils le font savoir:










Les arguments varient en fonction des sensibilités et de l'humour de chacun.










Dijonscope.com a fait un long article sur le sujet récemment, mettant en avant deux paramètres:
- L'absence de concertation avec les riverains. A ce sujet, le jeudi 4 novembre 2010, lors de la présentation du futur écoquartier Heudelet26, un responsable de la SEMAAD avait annoncé que pour tous les écoquartiers en projet, des discussions auraient lieu (dès janvier 2011 pour Heudelet26) avec des maisons prévues à cet effet, ainsi que la possibilité d'échanges sur des forums appropriés. Cela n'existe pas au jour d'aujourd'hui... De plus, pour monsieur Pribetich, le bétonnage à outrance "est un classique du genre", "Ce sont des opérations privées, avec des opérateurs privés. Peut-être faut-il discuter avec eux, mais le Grand Dijon n’est en rien associé à cette démarche."(source: Le Bien Public du 28/05/2011). Ce même monsieur Pribetich qui s'assied, via le maire, sur le code de l'environnement quand ça arrange la mairie...

- L'autre point est l'aspect "bétonnage excessif" dont se plaignent tous les riverains de ces projets immobiliers. Et ils sont assez nombreux comme le montre l'article, bien qu'ils ne soient pas tous référencés. Et c'est là que le cas "Montchapet" pourrait modifier la donne du "bétonnage". L'association qui s'est créée suite au projet SOPIRIM a déjà recueilli 250 signatures sur sa pétition, mais surtout et fait nouveau, ses responsables souhaitent fédérer l'ensemble des associations et collectifs de l'agglomération dijonnaise n'acceptant pas le bétonnage intensif et excessif. Et cela va de la destruction de quelques arbres ou bosquets pour y construire un immeuble, jusqu'à la destruction des terres cultivées par des agriculteurs pour les recouvrir d'un béton destructeur de vie, en passant par des petits jardins avec ses puits ancestraux...

L'agglomération dijonnaise appartient à ses habitants, et non aux bétonneurs excessifs. Un arbre comme un champs ont une valeur non négligeable qu'il serait temps de prendre en compte! Pour en savoir plus: nondijon-betonnon@hotmail.fr
A suivre...

lundi 20 juin 2011

La piétonnisation est en marche à Dijon

Le vendredi 10 juin dernier, la rue des Godrans, située en centre ville de Dijon, a vue la fin du passage des voitures.



Plus exactement, c'est à cette date qu'à eu lieu l'inauguration de cette rue en tant que rue piétonne. Plusieurs dizaines de mètres de rue retirés à la voiture pour laisser la place aux piétons et cyclistes (à la vitesse du pas) peut paraître anodin. Toutefois, il n'en est rien. C'est un symbole fort. D'ailleurs de nombreux élus étaient présent comme le montrent les articles et photos de dijonscope.com et focale.info.

La dernière rue rendue aux piétons au centre de Dijon était probablement la rue Vauban au mois de mars 2007. La prochaine sera probablement la rue de la Liberté en 2013.

samedi 18 juin 2011

La pollution visuelle et le gaspillage énergétique progressent au sud de Dijon

A la limite entre Chenôve et Marsannay-La-Côte, route de Beaune, un nouveau panneau publicitaire de grande taille vient d'être mis en place.

Un de ces panneaux rétro-éclairés utilisés pour diffuser la propagande publicitaire. Le sud de l'agglomération dijonnaise s'enlaidit encore et toujours et cautionne le gaspillage énergétique... Et dire que jeudi dernier, lors de la conférence-débat sur le thème RIO 20 ans après, monsieur Hervé Kempf est revenu plusieurs fois sur le fait qu'un des grands maux de nos société dîtes "modernes" provient de la publicité.

Quasiment aucun de nos dirigeants locaux ne semble comprendre cette problématique, sauf peut être pour RIO 40 ans après?... Pitoyable!

mercredi 15 juin 2011

Des radeaux végétalisés pour éduquer et dépolluer

La semaine dernière, l'association Arborescence a mis en place des radeaux végétalisés sur le lac Kir. La création de ceux-ci a demandé un travail préalable qui a été réalisé avec des élèves de plusieurs écoles.

Ces élèves ont ainsi pu découvrir de nombreuses thématiques liées à l'écologie, la pollution des eaux, la biodiversité, ...










Cette action est la première du réseau Nature Dans Ta Ville (NDTV). Celui-ci "est un programme pilote d’éducation à l’environnement et d’aménagement écologique, initié par l’association dijonnaise Arborescence.
Son objectif est d’impliquer les jeunes citadins dans le développement durable de leur quartier en y réalisant un diagnostic environnemental et un aménagement innovant.
Les actions s’inscrivent sur le long terme grâce à la participation active des enfants et l’implication des acteurs locaux. D’année en année, NDTV développe une action dans un quartier différent et renforce ainsi la trame verte de la ville.
NDTV se décline selon trois volets d’action pédagogique, écologique et social pour:
- Changer le regard que portent les enfants sur leur quartier
- Les rendre acteurs de la qualité de leur environnement de proximité,
- Améliorer la biodiversité et la qualité de vie citadine."









Cette initiative permettra peut être à Dijon-plage d'obtenir le pavillon bleu en 2012 (perdu en 2008). D'ici là, de nombreux enfants auront sûrement compris l'intérêt de respecter la nature, à défaut que ce soit les adultes...

samedi 11 juin 2011

Deux dijonnais étaient présent à une manifestation anti-OGM à Bruxelles

"Un groupe de militants anti-OGM a pris d'assaut un champ où des pommes de terre génétiquement modifiées étaient cultivées, rompant le cordon de police qui en bloquait l'accès, une opération qui a fait 18 blessés.
La police citée par l'agence Belga a annoncé qu'environ 40 protestataires avaient été brièvement interpellés.
Plus de 200 militants anti-OGM ont participé à cette opération baptisée mouvement de libération du champ à Wetteren (nord-ouest), où des pommes de terre génétiquement modifiées sont cultivées dans le cadre d'un programme de recherche, selon Belga.
La police a fait état de dix blessés légers dans ses rangs, les organisateurs de huit personnes malmenées parmi les protestataires.
Il y a eu la destruction d'un certain nombre de plantes de pomme de terre, mais il y a eu aussi quelques blesses, a déclaré Franciska Soler, faucheuse volontaire venue de France.
Le directeur de l'institut VIB responsable de ce programme de recherche sur les OGM, Jo Bury, a indiqué qu'une centaine de chercheurs avaient tenté en vain de dissuader les militants de mener leur opération.
Les OGM rencontrent une grande méfiance en Europe où la culture de seulement deux espèces, une de maïs pour animaux et une de pomme de terre pour la fabrication de papier, sont autorisées.
Une enquête menée par la Commission européenne au sein de l'UE et publiée le mois dernier montre que 13 des 27 pays membres ne voient pas l'intérêt à cultiver des OGM." (source: amapdijonnord.blog4ever.com)






Deux dijonnais, faucheurs d'OGM, étaient présent lors de cette action qui a eu lieu le 29 mai 2011.
Les OGM en plein champs n'apportent que des problèmes. Il serait temps que les élus ouvrent les yeux...

vendredi 10 juin 2011

Rio 20 ans après

En 1992 la ville de Rio de Janeiro au Brésil focalisait toutes les attentions avec le sommet de la Terre. Qu'en est-il resté? Des conventions, mais surtout cette allocution:

En 2002, le sommet de la terre avait lieu à Johannesburg. Qu'en est-il resté? Probablement la célèbre phrase de Jacques Chirac "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs".

En 2012, va avoir lieu à Rio de Janeiro à nouveau le sommet de la Terre, appelé "Rio + 20".


A cette occasion, une série d'universités itinérantes "Rio 20 ans après" vont avoir lieu à partir de la semaine prochaine, pour finir les 4-5-6 juin 2012 à Rio.

La première destination des universités itinérantes 2011-2012 est Dijon, du 16 au 18 juin 2011. Voici le programme:


























Ce passage local est une chance pour les dijonnais. Une chance pour tous pour s'interroger une fois de plus sur les questions environnementales à l'échelle planétaire. Espérons qu'à cette occasion quelques personnes de plus prendrons conscience que nous vivons tous sur une même et unique planète, et donc qu'il serait préférable de tous agir pour cesser de la détruire.


Jean-Paul Jaud s'est posé la question de ce qui s'est passé depuis Rio 1992. Il en a fait un film (film diffusé ce soir à Dijon dans le cadre du festival "transition vers l'après pétrole").

jeudi 9 juin 2011

Pourquoi une dijonnaise postule pour la présidence du FMI

Suite à la démission de monsieur Dominique Strauss-Khan, la présidence du Fond Monétaire International (FMI) est actuellement libre. Madame Lagarde se porte candidate, mais aussi madame aurélie Trouvé, une dijonnaise, co-présidente d'ATTAC France et économiste.


Economie, social, écologie, tout est lié, surtout quand le FMI "fabrique la misère". C'est ce qu'explique ce document en prenant l'exemple du Ghana:


Les exemples où le FMI créé pollution et misère ne sont pas rares. Ne laissons pas les économistes fous continuer à prendre le pouvoir et détruire notre planète.

Comme le montrait cette affiche d'un ancien numéro de casseurs de pub, que ce soit à la tête du FMI ou d'une structure locale, il est parfois préférable de se méfier de certains économistes... Selon la formule d'ATTAC, "un autre monde est possible", sans destruction de l'environnement!

samedi 4 juin 2011

Deux délibérations importantes ont été votées à Neuilly-lès-Dijon

Les mercredi 1er juin, le conseil municipal de neuilly-lès-Dijon était réuni pour voter plusieurs délibérations. Parmi celles-ci, deux particulièrement intéressantes ont été approuvées:
- Il a été voté l'extinction de l'éclairage public de minuit à cinq heures du matin. Trois arguments ont été avancés pour ce choix: économie d'énergie, économie financière et lutte contre la pollution lumineuse.
Explication de l'intérêt dans ce reportage Suisse:



Selon un document du site ANPCEN (Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l'Environnement Nocturnes), Neuilly-lès-Dijon est actuellement la troisième ville de l'agglomération dijonnaise à pratiquer l'extinction nocturne partielle de l'éclairage public, après Quetigny (extinction de 22h30 à 6h) et Magny sur Tille.

- La seconde délibération concerne la circulation: le nouveau plan de circulation inclue l'extension de la "zone 30" à l'ensemble du village, excepté la route départementale 905.

Selon le CERTU (Centre d'Etudes sur les Réseaux, les Transports, l'Urbanisme et les constructions publiques), la "zone 30" se définit ainsi: "La zone 30 est un espace public où l’on cherche à instaurer un équilibre entre les pratiques de la vie locale et la fonction circulatoire en abaissant la vitesse maximale autorisée pour les véhicules. Ceci doit aider au développement de l’usage de la marche en facilitant les traversées pour les piétons et l’usage du vélo en favorisant la cohabitation des vélos avec les véhicules motorisés sur la chaussée."


Pour bien comprendre l'intérêt de cette "zone 30", il est intéressant de regarder la conférence de madame Anne Faure sur le thème "Ville à 30, ville à vivre".

Avec ces deux délibérations, le petit village de Neuilly-lès-Dijon montre l'exemple...

jeudi 2 juin 2011

Conférence d'Alain Lipietz sur "la croissance verte et emploi"

Monsieur Alain Lipietz, économiste, député européen et directeur de recherche au CNRS, était présent le lundi 23 mai à la maison de l'environnement à Dijon pour donner une conférence relative à la croissance verte et aux emplois créés.


Les indications données lors de son exposé proviennent en partie d'un document du WWF: "-30% de CO2 = +684000 emplois, l'équation gagnante pour la France".

Pour en savoir plus, un document plus complet rédigé par le conseil d'orientation pour l'emploi fait une synthèse des emplois créés par cette fameuse croissance verte, selon différentes études.