lundi 28 avril 2014

L'Ours Pompon soutien la Pollutaxe

Qui doit payer pour les nuisances des poids lourds (entretien des routes, pollutions…) ?
- nous tous, avec nos impôts ?
- ou les bénéfices des grandes entreprises de transport routier, avec l’écotaxe (ou plutôt la pollutaxe) ?

Au même moment où il renonce aux recettes de l’écotaxe payées par les entreprises routières, le gouvernement augmente -le 1er janvier 2014- la TVA des transports publics à 10 % (contre 5,5 % en 2011), frappant au porte-monnaie les secteurs les plus pauvres de la population, qui se déplacent en transports collectifs.

Non à la hausse de la TVA ! Oui à la pollutaxe !
Cette pollutaxe (écotaxe sans exemption pour les autoroutes payantes, directement perçue par l’Etat etc.) doit aussi servir à :
- financer les alternatives au transport routier (qui contribue fortement au dérèglement climatique) : rail, fret maritime ou fluvial
- créer ainsi des emplois de proximité, non délocalisables. Il faut reconvertir les chauffeurs routiers en cheminots, et non l’inverse comme aujourd’hui !

L'appel avait été lancé sur le site pollutaxe.org: faire une photo symbolique de soutien devant une statue portant un masque. Des dijonnais ont répondu présent en se retrouvant samedi 26 avril devant la statue de l'ours Pompon, square Darcy à Dijon. Le gouvernement continuera t il à favoriser le transport routier, sachant que l'écotaxe contribue à lutter contre le réchauffement climatique ?
Il est urgent de changer le système, pas le climat !

dimanche 27 avril 2014

Hommage aux victimes de Tchernobyl

Samedi, Greenpeace Dijon, avec le soutien du collectif Sortir du Nucléaire de Côte-d'Or, avait organisé une action silencieuse en hommage aux victimes de l'accident nucléaire de Tchernobyl.



Une action silencieuse au centre de Dijon qui n'a pas laissé indifférent les nombreux passants. La plus part de ceux-ci s'arrêtaient pour comprendre ce qui se passait et pour lire les affiches sur le sol.











Un moment d'interpellation pour rappeler aussi que l'accident nucléaire est toujours possible en France, à chaque instant.
Il est bon de savoir également qu'il est possible de dire "non au nucléaire" de façon quotidienne: en quittant EDF (entreprise pro-nucléaire) pour Enercoop (entreprise 100 % énergies renouvelable et 0% nucléaire)

jeudi 24 avril 2014

Appel à financement participatif pour un festival sur "Les Alternatives"

Le "Crowfunding" ou "financement participatif" est un moyen qui se développe pour soutenir financièrement une cause ou un projet. Attac Côte-d'Or lance un appel à soutien dans le but de réaliser un festival de cinéma sur "Les Alternatives".
"L’association ATTAC Côte d’Or (Association pour la Taxe des Transactions financière et l’Action Citoyenne) en partenariat avec des associations locales (MJC, associations étudiantes, associations militantes, associations d’éducation populaire) souhaite organiser un nouveau festival de cinéma au mois d’octobre 2014. Il aura pour thème « Les Alternatives », et consistera dans la diffusion de films ou documentaires sur des expériences et alternatives sociales et environnementales en France et dans le monde : monnaies locales, agriculture de proximité et respectueuse de l’environnement, transports, industrie… Notre objectif est de donner des clefs de compréhension du monde différentes aux citoyens et citoyennes de notre région, à la fois en Côte d’Or mais aussi en Saône et Loire, en partenariat avec les antennes locales d’ATTAC Chalon et d’ATTAC Mâcon.
C’est pourquoi nous allons diffuser entre 7 et 9 films, principalement documentaires, dans des salles municipales ou associatives de Dijon et son agglomération ainsi qu’à Chalon, Mâcon ou encore Tournus. Les diffusions auront lieu entre les 7 et 16 octobre 2014 environ.
Le Festival 2013 avait rassemblé près de 700 spectateurs. Nous espérons égaler ce chiffre et même le dépasser allégrement ! C’est pourquoi nous faisons appel cette année au financement citoyen, afin de tester nos capacités de mobilisations militantes et viser un autofinancement plus conséquent. Sans cette participation, le festival ne pourra concrètement avoir lieu que dans des dimensions très minimes."

lundi 21 avril 2014

Présentation de la DREAL Bourgogne sur Radio Dijon Campus

La DREAL, qu'est-ce que c'est ? C'est pour répondre à cette question que messieurs Hugues Dollat (directeur adjoint), Michel Quinet (transport) et Fabien Grange (communication) sont venu répondre aux questions dans l'émission Le Pissenlit, l'émission écolo sur Radio Dijon Campus.



La DREAL est donc la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement. "La Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) de Bourgogne met en oeuvre, sous l’autorité du préfet de région, les politiques publiques du Ministère de l’Égalité des Territoires (METL) et du Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie (MEDDE). Elle porte la préoccupation environnementale ainsi que la transition écologique et énergétique au coeur de son action.
En Bourgogne, ce sont près de 280 agents qui travaillent au sein de la DREAL. Elle est composée de cinq services thématiques et d’un service support installés à Dijon et comprend 3 unités territoriales dans les départements de la région."







La plaquette de présentation indique:
"Élaborer et mettre en oeuvre les politiques de l’État en matière d’environnement, de développement et d’aménagement durables.
• Piloter, à l’échelle régionale, la politique climatique afin de définir les grandes orientations énergétiques visant la réduction des consommations d’énergie, la diminution des émissions de gaz à effet de serre et le développement des énergies renouvelables.
• Élaborer et mettre en oeuvre les politiques de l’État en matière de logement public et privé, la lutte contre l’habitat indigne et la précarité énergétique.
•Contribuer à l’information, la formation et à l’éducation des citoyens aux enjeux du développement durable.
• Développer une politique des transports et des déplacements, à même de répondre aux besoins de la population et permettant une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Contribuer à promouvoir la sécurité routière.
• Promouvoir la participation des citoyens dans l’élaboration des projets du ministère ayant une incidence sur l’environnement ou l’aménagement du territoire.
Assurer la préservation et le maintien de la biodiversité et des paysages.
• Réduire et gérer les risques naturels, technologiques et chroniques.
• Lutter contre les pollutions et les nuisances. • Veiller à l’intégration des principes et objectifs de
développement durable dans la mise en oeuvre des actions conduites par l’État et évaluer ou faire évaluer l’impact environnemental de ses actions.
• Assurer une gestion durable de la ressource en eau et des ressources minérales.
• Contribuer à la définition de la stratégie du ministère et des établissements publics en région et piloter sa mise en oeuvre.
• Assister les autorités administratives dans leur rôle d’autorité environnementale sur les plans, programmes et projets."

samedi 19 avril 2014

Quand est-ce que la Côte-d'Or deviendra un "département durable" ?

Tous les côte-d'Oriens ont reçu le magazine du Conseil Général mettant en avant un "département durable". Agenda21, prévention des déchets, circuits courts de consommation, biodiversité. Et le "STOP au Ralenti", où est-il ?

Le Conseil Général s'est lancé dans un "Schéma Départemental de Développement Durable" fin 2009. De là, ce Conseil Général a réalisé un bilan carbone de ses activités.














Le déplacement des personnes représente 32 % de ces émissions, avec Transco qui représente la moitié des émissions de ce poste. Parmi les recommandations pour diminuer ces émissions de Co2, il a la formation des chauffeurs à l'éco-conduite. Et c'est là qu'il y a un hic !



L'association rires sans frontière a réalisé cette semaine la vidéo ci-dessus ! On y voit des cars Transco à l'arrêt, parfois plus d'un quart d'heure, et avec le moteur en marche. Cette association est unique car la seule de la région (et peut être de France) à sensibiliser sur le "STOP au Ralenti". Et pourtant, le "stop au ralenti", c'est sérieux, mais on n'y pense pas.



Alors, quand est-ce que le Conseil Général passe à l'acte et quand est-ce que la Côte-d'Or deviendra un département durable ? Quand verra t on une sensibilisation générale du "stop au ralenti" ? Cette situation n'est clairement pas durable...

mercredi 16 avril 2014

"Le salaire de la Terre", 3 films et 3 rencontres

Le cinéma Eldorado propose trois films avec trois rencontres répartis sur trois semaines à propos du rapport de l'homme à la terre. Des documentaires complémentaires à découvrir.














Edito: "Depuis longtemps, nous voulions vous proposer une programmation sur le rapport de l’homme à la terre. A la terre comme étendue, comme terrain, mais aussi comme source de bienfaits, la terre nourricière.
La relation que l’homme entretient avec la terre est le fruit d’une longue histoire et d’une géographie complexe, mais ici, nous allons nous intéresser à aujourd’hui. Heureuse coïncidence, le cinéma français nous amène 3 films en ce printemps, trois œuvres documentaires sur trois phénomènes contemporains qui se rapportent tous à cette relation homme/terre.
Qu’il s’agisse de l’exploitation du gaz de schiste ou du traitement que nous réservons à la biodiversité et aux paysages ruraux, à petite ou grande échelle, une constante s’impose : la terre est accaparée par certains puis exploitée de manière intensive par d’autres. Nous nous conduisons toujours comme des pilleurs, comme des visiteurs extérieurs à la nature, désenchantés, alors que nous sommes tous issus de ce milieu naturel.
C’est en quelque sorte ce désenchantement que nous voulions analyser de plus près à travers ces 3 films et ces 3 rencontres."

Mardi 22 avril, La question de l’intérêt et des risques des gaz de schistes:


Mardi 29 avril, Les intérêts divergents de l’industrie, de l’écologie et de la préservation des paysages:


Mardi 6 mai, L’accaparement massif de terres:


Chaque documentaire sera suivi d'un débat qui promet d'être très instructif vu les participants.

mardi 15 avril 2014

"BNP Paribas, la banque d'un monde qui triche"

Attac21 et Les Amis de la Terre Côte-d'Or appellent à manifester le samedi 19 avril à partir de 10h30 devant l'agence BNP Paribas (proche du Théâtre), rue de la Liberté à Dijon. Une manifestation dans le cadre de la campagne "Les requins".














Et oui, BNP Paribas mérite le label "tricheur fiscal 2014". Un "honneur" de plus pour cette banque.


Dans le classement réalisé en 2010 par Les Amis de la Terre, "L'empreinte carbone des banques françaises", BNP Paribas arrivait en 3ème position en partant des plus mauvaises.


Dans le guide "Comment choisir ma banque ?" réalisé en 2008 par Les Amis de la Terre, BNP-Paribas était classée la pire avec des risques maximum.













Et ce n'est pas tout. BNP Paribas a terminé 2ème en 2013 au prix Pinocchio , organisé par Les Amis de la Terre, dans la catégorie "plus vert que vert" avec le fait que cette banque finance la recherche sur le changement climatique... qu'elle provoque elle-même ! En 2012, BNP Paribas avait terminé aussi 2ème dans la catégorie "Mains sales, poches pleines" pour "BNP Paribas vous mène au paradis... fiscal !". En 2009, BNP Paribas n'avait terminé que 3ème dans la catégorie "Environnement" pour le financement d'un projet pétrolier et gazier qui menace les dernières baleines grises occidentales du monde (Russie).

Bref, on l'aura compris, il est temps que cette banque change, ou bien que tout le monde quitte cette banque. Pour information, la banque française la plus respectueuse de l'environnement et la plus éthique est La Nef.

dimanche 13 avril 2014

Compte rendu du procès d'Orléans à propos du fauchage de tournesols mutés

Un des faucheurs dijonnais était présent lors de la fauche de tournesols mutés au mois de juillet 2010 en Touraine. Ce mercredi 9 avril avait lieu leur procès. Voici le compte rendu de la situation apporté par ce faucheur dijonnais:

"Rappel:
Ce procès faisait suite au procès en première instance de Tours fin octobre 2012, pour le fauchage de tournesols mutés fait près de Tours en juillet 2010. Le juge ayant refusé les 73 Comparants Volontaires qui demandaient à être jugé avec les 3 prévenus (nous étions 119 Faucheurs Volontaires présents au fauchage) nous avons tous quitté la salle d’audience, prévenus, Comparants Volontaires, témoins et avocats. Le procès s’est déroulé sans nous, donc sans avoir pu débattre de la mutagénèse et des OGM cachés qui sont les plantes rendues tolérantes aux herbicides par leur mutation forcée. 2 prévenus ont étés condamné à 3 mois de prison avec sursis et 5500 € de dommages et intérêts. Le 3ème,  un paysan, était relaxé pour défaut d’identification sur les photos (alors qu’il a confirmé au juge sa participation !)
Le procureur a fait appel pour cette relaxe et les faucheurs pour leurs condamnations.

Déroulement:
1-Comparution Volontaire : Nos avocats déposent la demande des 53 Comparants Volontaires ; L’Avocate Générale dit de suite que le parquet n’est pas d’accord ; argument invoqué : ces faucheurs ont déclarés lors des enquêtes de gendarmerie « je n’ai rien à déclarer »... donc ils n’ont pas à être entendu ; les juges se retirent pendant 3/4 h pour en décider et finalement refusent notre comparution.

2-Témoignages
7 témoins, dont 2 paysans ingénieurs agro, qui ont chacun bien redit à leur façon que ces plantes mutées sont bien classées comme OGM par la directive européenne 2001/18 qui définit les OGM... mais qu’elles ont été exclues de la législation qui réglemente la culture des OGM, cela sous la pression du lobby des firmes agro-alimentaires, car en 2008 la mutagénèse était déjà lancée pour aboutir à l’élaboration de plantes mutées pour qu’elles deviennent tolérantes aux herbicides ;
C’est là le cœur du problème : cette culture n’étant pas soumise à la réglementation des OGM, il n’y a pas de déclaration de culture, pas de précautions particulières aux autres cultures du voisinage, pas d’étiquetage OGM, pas d’études préalables sur les risques environnementaux et sanitaires, à la mise sur le marché.
C’est ce que nous demandons : que ces plantes relèvent de la législation sur les OGM
Les 2 paysans "victimes" n’avaient pas de témoins, et surtout les semenciers en cause Pionner et BASF n’étaient pas présents car ils n’avaient pas déposé plainte !!!
Ils ne veulent pas de vagues !

3-Réquisitoire de l’Avocate Générale
Il y a eu destruction de biens en réunion et violation de la propriété privée, donc condamnation pour les 3 prévenus mais à voir plutôt sous la forme d’amendes que de la prison avec sursis + dommages et intérêts donnés en première instance. Les plantes mutées ne sont pas des OGM et leur culture s’étend maintenant sur 170 000 ha... le débat OGM et conséquences sanitaires et sociétales n’a pas lieu d’être fait par la justice, la propriété privé est un droit absolu qui prime sur tous les autres, y compris le droit de protection de l’environnement collectif et de la santé des être humains

4-plaidoirie
Nos avocats demandent la requalification des faits ; délit de fauchage OGM et non délit de destruction de biens en réunion (qui est + général et + lourdement sanctionné)
Et puisque la culture d’OGM est frappée d’interdiction en France par l’arrêté gouvernemental du 14 mars qui en précise bien les dangers et les risques, ils demandent la relaxe des prévenus. Il a fallu 10 ans de lutte des Faucheurs Volontaires pour qu’enfin le pouvoir politique reconnaisse la dangerosité de cette culture... puisqu’il l’interdit, Faudra t’il autant de temps pour les plantes mutées ???

5- rendu le 24 juin"

Pour en savoir plus, lire l'article sur reporterre.net.

mercredi 9 avril 2014

Dijon reçoit le label Cit'ergie

Le Dijon mag n°267, avril 2014, informe que la ville de Dijon a reçu le label Cit'ergie. Ce label "est une reconnaissance des efforts déployés par la ville en matière de maîtrise de l’énergie et de protection du climat."

"La ville de Dijon fait désormais partie des 21 collectivités françaises qui se sont vu décerner le label Cit’ergie®. Ce label est la déclinaison française de l’European Energy Award® , récompense accordée aux territoires les plus actifs en matière de maîtrise de l’énergie et de protection du climat. En Europe, 600 collectivités de 9 pays l’ont obtenue. Le label, remis à la ville par le président de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) dans le cadre des Assises de l’énergie qui se sont tenues à Dunkerque fin janvier, salue les actions menées à Dijon en faveur de la diminution des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre. Grâce à son plan climat-énergie et à son éco-Plu, Dijon s’illustre dans la catégorie « développement territorial ». Avec la mise en service du tramway et d’une importante flotte de bus hybrides, le développement de la pratique du vélo et la piétonnisation du centre-ville, elle réalise un excellent score en matière de « mobilités ». Mais le jury a également salué les efforts fournis en faveur de la réduction de la consommation électrique pour l’éclairage public, de la conception basse consommation des nouveaux bâtiments publics (piscine olympique, Zénith, services du 11 rue de l’Hôpital, musée des Beaux-Arts...), de la création et du développement de réseaux de chaleur alimentés par des chaufferies biomasse... En dépassant le niveau de 50 % des critères obtenus, Dijon a pu obtenir le label Cit’ergie®, après avoir décroché le label Cap Cit’ergie en 2010 avec un score de 39 % ; la ville vise désormais l’objectif de 75 % des critères pour décrocher, à l’instar de Besançon et de Dunkerque, le prix « Cit’ergie Gold ».
En France, 78 collectivités sont engagées dans la démarche. Dijon, en décrochant ce label, conforte son ambition d’être une référence écologique en Europe."

Rendez-vous est donné pour le label "Cit'ergie Gold".

mardi 8 avril 2014

Et si on transformait Dijon en potager gratuit ?

"On sème sans gène, on récolte sans peine !", tel est le leitmotiv du mouvement Incroyable Comestible de Dijon, ce collectif qui a pour but de transformer la ville en potager gratuit !

Après une première annonce l'été dernier, le mouvement a grandi, des contacts ont été pris, l'idée continue à faire son chemin.
Mi mars, une première photo symbolique a été prise: comme pour tous les autres Incroyables Comestibles de France et du monde, une  photo est prise devant le panneau d'entrée de ville. Pour l'anecdote, une très grosse averse s'était invitée au moment prévu pour la photo, le nombre de personnes présentes n'est pas représentatif du nombre de personne adhérant à ce collectif.

"Recherche personnes motivées pour changer la société !" "Avec les incroyables comestibles, si chacun fait un geste, on change la ville. Et si on s'y met tous, on change la société !" Utopique ? Juste incroyable à imaginer dans nos sociétés modernes, incroyable d'imaginer que des personnes souhaitent non pas exploiter son prochain, mais qu'ils aient envie de partager. Comme d'autres collectifs et associations dijonnaises ayant la même façon de penser: bravo !

jeudi 3 avril 2014

Villes & Villages sans pesticides et bio


Dans l'agglomération dijonnaise, seules les villes de Dijon et de Longvic possèdent une information.











On apprend que la ville de Dijon a engagé une réduction, tandis que la ville de Longvic répond utiliser 0 pesticide total sauf espaces à contrainte (ex: terrain de sport, cimetières,etc). 

A chacun d'interpeller les autres mairies pour qu'elles remplissent le formulaire. Le site explique comment agir, selon 4 modes d'actions possibles.

Ce site pointe aussi vers le site internet "Villes & Villages bio". Aucune ville de l'agglomération dijonnaise n'a rempli de formulaire ce jour. Tout comme le précédent site, tout le monde peut aussi interpeller sa mairie pour qu'elle remplisse le formulaire.
Interpeller via ce formulaire, ou bien aller plus loin comme ce parent d'élève de Neuilly-sur-oise qui a enregistré une requête auprès du Conseil d'Etat qui conclut notamment à : "l’obligation d’introduction immédiate d’un menu 100% bio dans toutes les cantines scolaires de France et l’obligation du gouvernement de demander l’introduction – dans La Convention relative aux droits de l’enfant – du droit de l’enfant à une alimentation 100% bio." (source: macantinebio.wordpress.com)

mardi 1 avril 2014

Les jardins des Lentillères seront sauvegardés !

L'information date du vendredi 28 mars. Elle était passée inaperçue, malgré son importance. Ce vendredi 28 mars, monsieur Rebsamen était interviewé par Radio Dijon Campus et Le Miroir. Parmi les questions, le sujet des jardins des Lentillères a été abordé; voici l'extrait:


La réponse de monsieur Rebsamen est formelle: les 6 hectares de terres agricoles présents dans la ville de Dijon ne seront pas détruits. Ces terres seront bien conservées avec la mise en place de structures bien définies pour les exploiter.

C'est une très bonne nouvelle de découvrir, après plusieurs années de lutte, que la mairie de Dijon va mettre à profit le potentiel de ce lieu. Une petite ferme dans Dijon intra-muros et davantage de jardins partagés, ce sont autant de lieux de sensibilisation au respect de la terre, d'alimentation locale et de lieux de convivialités.