jeudi 17 mai 2018

Une dijonnaise parmi le panel de 400 citoyens participants au débat national de la programmation pluriannuelle de l'énergie

"Elaborée par le ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES - Direction générale de l'énergie et du climat - DGEC) en concertation avec l’ensemble des parties prenantes, la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) est l’outil de pilotage de la politique énergétique créé par la loi de transition énergétique pour la croissance verte votée en 2015.

Elle exprime les orientations et priorités d’action des pouvoirs publics pour la gestion de l’ensemble des formes d’énergie sur le territoire métropolitain continental, afin d’atteindre les objectifs de cette loi."


"Pour que ce débat soit le plus ouvert et le plus large possible, la commission prévoit un dispositif de participation équilibré au niveau national. 400 citoyens seront tirés au sort au début du débat. Ils seront régulièrement tenus informés des échanges. Réunis à Paris en juin 2018, ayant en main les éléments issus de la discussion, ils auront à se prononcer sur les questions apparues comme saillantes en cours de débat."













Au moins une personne de l'agglomération dijonnaise participera physiquement à ce débat.
"Le G400 est une première en France à cette échelle : on va réunir des citoyens qui ne sont pas des spécialistes mais qui ont tous une expérience de consommateur, d'usager ou de contribuable. On va leur demander de se prononcer en toute indépendance sur des aspects importants de la politique française de l'énergie. Le résultat de cette consultation sera transmis au gouvernement qui, ainsi informé de I'avis des participants, publiera une première version de la PPE à l'été 2018 et une version définitive à la fin de la même année."

De nombreux documents sont consultables sur le site de la commission nationale du débat public. Il est aussi possible de participer à la consultation via ce site, en déposant des commentaires.

Un débat, un vrai sur l'énergie ? Probablement pas ! Que penser de cette initiative lorsqu'on apprend que le gouvernement autorise l'importation de 550 000 tonnes d'huile palme par an provenant de Malaisie (avec tous les dégâts environnementaux que cela comporte), en échange de la vente d'armes...

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