samedi 27 avril 2019

Festival Exaequo: Fin du monde, fin du mois, même combat !

Exaequo, c’est quoi ? C’est un festival culturel cherchant à rapprocher les gens, à partager, à redevenir solidaire et véritablement citoyen !
A l’initiative des associations Gritche et ACE 21 et en collaboration avec ATTAC, les Amis de la Terre, Solidaires, FSU, la Caisse de Solidarité, l’Assemblée Populaire 21, la Majorité silencieuse, les Gilets Jaunes du 21. Une solide équipe de bénévoles vous invite à un évènement né des mouvements sociaux qui touchent la France actuellement : le Festival Ex-Aequo ! mercredi 8 mai 2019 de 14h à 22h, salle Devosge à Dijon

Ses objectifs dans le détail :
- L'ouverture d'un dialogue social.
A travers des moments musicaux, des arts de la rue, des prises de parole nous offrirons, dans un cadre différent de celui des manifestations, la possibilité de se rencontrer entre gilets jaunes, écologistes et citoyens de tous bords pour appréhender les mouvements autrement qu'à travers le prisme des médias traditionnels.

- Comprendre les mouvements, les enjeux, la réponse de l'Etat.
Aude Lancelin, directrice du Média, sera à Dijon pour évoquer le mouvement des gilets jaunes mais aussi les actions de l'ANV-COP21, la place des médias dans ces mouvements et la parole de l'Etat. Laurent Thines, neurochirurgien bisontin, bien connu depuis sa prise de parole sur les blessures de guerre infligées aux gilets jaunes évoquera les armes déployées lors des manifestations, leur nocivité et leur impact sur le corps et la santé des manifestants.

- Appréhender la force de la répression et faire œuvre de solidarité pour les lanceurs d'alertes et les activistes.
Qu'ils décrochent les portraits du président Macron au sein des mairies de France face à l’inaction climatique, qu'ils défilent dans les rues en demandant davantage de justice sociale, qu'ils bloquent les sites d'Amazon ou de Monsanto, nos concitoyens vivent une répression d'Etat rarement observée dans un pays tel que la France et risquent de très lourdes poursuites. Grâce à la billetterie du festival, à la Caisse de So et à la participation bénévole de nos intervenants nous pourrons offrir une défense de qualité à ceux qui luttent.

- Ensemble, penser la société autrement.
A l’image des rond-points, nous souhaitons restaurer cette fraternité redécouverte dans les cabanes de fortune autour du feu. Une fraternité inter-générationnelle ouverte à toutes et à tous, peu importe son origine, sa culture, ses orientations sexuelles, sa religion. Ex-aequo appelle au rassemblement de toutes les voix afin de porter l’ambition d’une société juste, responsable, fraternelle et solidaire où tout le monde à sa place !

Programmation musicale :
YVES JAMAIT, ILTIKA, DREADFUL, TOUSKI (Norbert Lucarin), 11 LOUDER, LA Cie DU CLAIR OBSCUR, FANFARE SOLEILS VERTS

Rencontres/conférences :
AUDE LANCELIN (le Média) , LAURENT THINES (Neurochirurgien bisontin), DESARMONS-LES (collectif), ATTAC

* Programme sous réserve de modifications
Tarifs : PAF 6€ / 5€ adhérents / Gratuit pour les moins de 14 ans.
Restauration et buvette sur place

vendredi 26 avril 2019

L'association Cric&Co a lancé un financement participatif

Le principe de Cric&Co est simple : vous apportez votre voiture et on vous aide à l’entretenir et la réparer. Tout ça dans une dynamique écoresponsable. Depuis sa création en 2016, l’association a sensibilisé et formé pas moins de 500 adhérents à la gestion responsable et durable de leur voiture.


Pour équiper un nouveau local, situé dans le quartier CapNord de Dijon, l'association a besoin d'acheter un pont élévateur, un compresseur et une servante d'atelier. Chacun peut soutenir cette démarche via la plateforme Graine d'action.

Réparer une voiture, apprendre à en prendre soin, appendre à se passer de sa voiture quand cela est possible, c'est autant d'actions de sensibilisation que réalise cette association. Une sensibilisation qui n'est pas anodine si on regarde l'écobilan d'une automobile.

Dans son livre "En voiture Simone", Lucien Willemin tord le cou aux bonnes paroles de nos politiques et démontre tout l'intérêt d'une association comme Cric&Co:
"Mais finalement … où la voiture pollue-t-elle vraiment ?
«En voiture Simone !» explique l’É-grise et emmène le lecteur à développer une réflexion élargie au sujet de la voiture.
Cette première parution permet de comprendre où et comment la voiture pollue réellement et quel est le choix le plus favorable pour notre futur : rouler un ancien véhicule ou un hybride neuve ?
Une réflexion hors norme qui nous amène à une vision de la voiture bien différente de celle promulguée par les programmes politiques et les publicités en matière d’écologie.
Ainsi on constate que :
* le conducteur d’une ancienne voiture pollue moins que celui d’une hybride flambant neuve
* en 33 ans d’avancée technologique seul 0,7 litre au 100 km a été économisé entre la première et la sixième génération de la VW Golf GTI
* contrairement au message officiel, acheter une voiture neuve est un geste faussement écolo
* un parc automobile usagé est un bienfait pour l’emploi local, car l’entretien crée de l’emploi
*sur le plan national, un programme politique cohérent et global, ayant une incidence réellement positive pour la planète serait de stopper l’importation de véhicules neufs durant 5 ans
Une démonstration qui sort l’esprit collectif de l’écologie de surface de nos programmes politiques."

mercredi 24 avril 2019

Je mange donc je vote: la ferme de Bâlon

L'Europe contribue largement au financement de l'agriculture française via l'argent de la Politique Agricole Commune (PAC). Le 26 mai, les élections européennes seront un moment fort pour orienter à terme la nouvelle PAC prévue pour 2021. C'est pourquoi l'association Les Amis de la Terre Côte-d'Or sensibilise à l'importance de ce vote via le témoignage de Laure de la ferme de Bâlon.


"Pour contribuer à façonner un système agricole et alimentaire qui réponde aux besoins et attentes de la société et qui soit générateur de bienfaits économiques, sociaux et environnementaux, il est nécessaire de réfléchir au modèle agro-alimentaire de demain. Les modèles agro-alimentaires actuels sont dominés par l’agro-industrie et la grande distribution, au sein de laquelle une poignée de mastodontes économiques impose ses conditions aux paysan·ne·s, aux filières, aux contribuables, ou encore aux « mangeur·se·s ».
À l’inverse, les modèles agro-alimentaires de demain composent un environnement vertueux et réduiront les inégalités caractéristiques du rapport de force déséquilibré entre les différent·e·s acteur·rice·s qui prévaut aujourd’hui.
Le pouvoir sera partagé équitablement entre tous les maillons de la chaîne. Ces modèles seront basés sur une agriculture à l’écoute de la demande des citoyen·ne·s, respectueuse de la santé et du bien-être animal, qui fournit à la fois une production alimentaire diversifiée de qualité et des services environnementaux, sociaux et économiques aux territoires qu’elle fait vivre." (Pour en savoir plus, lire "Pour une autre PAC, osons une vraie réforme de la politique agricole commune !")

Pour que le modèle actuel change, il est important de voter le 26 mai.

vendredi 19 avril 2019

Ces élus qui permettent aux entreprises polluantes de s'afficher

Aujourd'hui plus de 2000 personnes ont bloqué l'accès de Total, EDF et La Société Générale à la Défense près de Paris. Ce sont toutes les trois des entreprises extrêmement polluantes. A Dijon, TOUS les élus du conseil métropolitain ont permis à ces entreprises de s'afficher dans les rues, une sorte de complicité, un soutient aux pollueurs !



Total fait partie des 20 entreprises qui émettent le plus de CO2 au monde. La Société Générale est la première des banques françaises à investir dans les énergies fossiles les plus dangereuses pour le climat. EDF ne produit que 10% d’énergies renouvelables en Europe, contre plus de 70% pour le nucléaire, qui génère des milliers de tonnes de déchets radioactifs dangereux.

Et que voit-on ce même jour dans les rues de Dijon ? De la publicité pour Total et La Société Générale ! Des publicités présentes sur des panneaux publicitaires que tous les élus de Dijon Métropole ont délibérément décidé de garder alors qu'ils auraient pu les interdire lors du vote du RLPi le 28 juin 2018. Ces élus avaient été alertés par l'association Les Amis de la Terre Côte-d'Or des méfaits de la publicité, mais tous ces élus ont préféré fermer les yeux. En permettant aux entreprises les plus polluante de prospérer, ils se rendent complices de leurs méfaits !

lundi 15 avril 2019

Le film "Le grain et l'Ivraie" est diffusé actuellement à Dijon

Le film "Le grain et l'Ivraie" est diffusé actuellement au cinéma Devosge à Dijon.

"Fernando Solanas voyage caméra aux poings à travers sept provinces argentines à la rencontre des populations locales, d’agriculteurs et de chercheurs qui nous racontent les conséquences sociales et environnementales du modèle agricole argentin : agriculture transgénique et utilisation intensive des agrotoxiques (glyphosate, épandages, fumigations) ont provoqué l’exode rural, la déforestation, la destruction des sols mais aussi la multiplication des cas de cancers et de malformations à la naissance.


Le récit de Fernando Solanas évoque aussi l'alternative d’une agriculture écologique et démontre qu’il est possible de produire de manière saine et rentable des aliments pour tous, sans pesticides, pour reconquérir et préserver nos milieux naturels."








Que ce soit en Argentine, en France, ou  ailleurs, la problématique des pesticides est semblable. Heureusement que partout des citoyens se lèvent contre ces pollueurs.

dimanche 14 avril 2019

La ville de Chenôve signe à son tour un arrêté interdisant le glyphosate

Le 8 avril, la ville de Chenôve a signé à son tour, après Dijon, un arrêté municipal interdisant l’utilisation des produits contenant du glyphosate sur la commune.  L'Appel des coquelicots avec sa pétition et ses rassemblements mensuels, ainsi que la campagne glyphosate appliquée localement ont semble t il marqué les esprits des élus locaux. Dijon et Chenôve ont officiellement interdit l'utilisation du glyphosate, quelles seront les prochaines villes de l'agglomération ?













Communiqué de presse:
"La dangerosité de l’utilisation des pesticides dans nos vies quotidiennes, sur notre santé et sur l’environnement, n’est plus à prouver.
C’est la raison pour laquelle, dès 2009, Chenôve a été la première commune de l’agglomération à proscrire l’utilisation des produits phytosanitaires nocifs pour l’entretien de ses espaces verts sans attendre les réglementations en vigueur initiées à partir de 2017.
En 2019, à l’occasion de cet anniversaire célébrant les « 10 ans sans phyto » à Chenôve, le maire, Thierry FALCONNET, avec son équipe municipale, ont décidé d’aller plus loin, conscients des enjeux en termes de santé publique, de préservation des ressources et de la biodiversité. Il vient de signer un arrêté municipal interdisant l’utilisation des produits contenant du glyphosate sur la commune dans la droite lignée de la décision inédite prise par la ville de Dijon et son maire, François REBSAMEN.
« J’ai souhaité prendre cette même décision en lien avec notre politique volontariste en matière de développement durable, pour continuer d’agir pour la santé de notre planète, pour notre santé, celle de nos enfants et de nos petits-enfants », souligne Thierry FALCONNET lors de la séance du Conseil municipal d’hier soir au sein de laquelle un vœu de soutien à l’appel du Mouvement des Coquelicots a également été adopté à l’unanimité.
Le développement durable sera à l’honneur toute cette semaine à Chenôve avec la replantation des premiers Tetradium daniellii, surnommées « arbres à miel », pour la reconquête de la nature en ville et la préservation de la biodiversité urbaine. Organisée avec le Mouvement des Coquelicots de Côte-d’Or, une conférence, intitulée « Protégeons nos sols des pesticides » se tiendra enfin samedi 13 avril de 10h à 12h à la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville avec les microbiologistes des sols, Lydia et Claude BOURGUIGNON."













Ce même soir, un vœu de soutien à l’appel du Mouvement des Coquelicots a également été adopté à l’unanimité. Ce même vœu avait été adopté à l'unanimité moins une voix (une abstention) au conseil municipal de Dijon.

Maintenant, si ces maires ont le véritable souhait d'agir en faveur de l'environnement, qu'ils continuent en interdisant tous les pesticides de synthèse. Bref, qu'ils déclarent leur commune en territoire 100% bio.

samedi 13 avril 2019

Dijon ne sera pas capitale verte européenne en 2021

Au mois de décembre, la ville de Dijon avait annoncé faire partie des 9 villes européennes prétendantes pour obtenir le label de "capitale verte européenne" en 2021. La liste des finalistes vient de tomber: Dijon n'en fait pas partie. Certains élus de l'agglomération ont beau s'autoproclamer "Dijon référence écologique européenne", ce résultat n'étonne pas les écologistes locaux.

Etre une référence écologique sans faire supprimer les panneaux publicitaires (incitation à la surconsommation), sans protéger contre le bétonnage les 6 hectares de terre agricole des Lentillères, sans une politique réelle et ambitieuse de développement du vélo, sans donner de grands moyens à la réduction de déchets (en autre pour le compostage collectif), cela n'est pas cohérent.

Remarque: Lille, qui  fait parti des villes finalistes malgré la critique d'associations écologiques, va se lancer dans le 30km/h pour toute la ville sauf les axes structurants par exemple. Cette proposition a été faite en réunion publique de la métropole de Dijon à deux reprises et par courrier par un citoyen. Cette suggestion a été balayée d'un revers de la main par les élus à chaque fois, et n'a pas donné de réponse sur le document final de concertation du PLUi (Plan Local d'Urbanisme intercommunal)...

jeudi 11 avril 2019

Le numérique, allié de la transition écologique ?

Alterre Bourgogne France-Comté organise une journée spéciale d'échanges sur le thème "Le numérique, allié de la transition écologique ?" le jeudi 25 avril.

"Nos sociétés sont confrontées à un double défi : la transition écologique et la révolution numérique. L’une ne se fera pas sans l’autre. L’essor des outils numériques, la production massive de données (« big data ») et l’émergence de l’intelligence artificielle, génèrent de nouveaux modèles de développement économique et social. Ceux-ci peuvent-ils nous aider à réussir la transition écologique, indispensable pour limiter le réchauffement climatique et préserver les ressources de la Terre ?"

"Les intervenants de la journée débattront des enjeux croisés du numérique et de l’écologie qui sont, à bien des égards, un atout dans le combat pour l’environnement, mais pas forcément sans risques. Des exemples concrets illustreront comment le numérique peut contribuer au développement durable."


Cette journée promet d'être particulièrement intéressante car Dijon s'est lancé à 100% dans le numérique via "ONDijon" et soit disant promet des économies, notamment d'énergie: "65 % d’économies d’énergie attendues sur l’éclairage public". Mais cette croyance dans "le numérique sauveur de l'humanité" n'est il pas en fait une fuite en avant vu l'impact environnemental catastrophique du numérique justement ?

dimanche 7 avril 2019

Dijon a publié un arrêté interdisant l'utilisation du glyphosate pour les professionnels et particuliers

Le 21 mars 2019, la ville de Dijon a publié un arrêté interdisant l'utilisation du glyphosate pour les professionnels et particuliers. Alors que ce pesticide est interdit de vente et d'utilisation pour les particuliers depuis le 1er janvier 2019, la ville de Dijon interdit maintenant son utilisation même pour les professionnels.













Article 1:
L'utilisation de tout produit contenant du glyphosate sur l'ensemble du territoire de la Ville de Dijon est interdit jusqu'à nouvel ordre.

Un arrêté qui fait probablement suite à la campagne glyphosate qui a montré qu'en Côte-d'Or nous sommes très nombreux (tous ?) contaminés par les pesticides, notamment par le glyphosate. Un arrêté avant tout symbolique car le nombre d'agriculteurs touchés par celui-ci est peu nombreux (2 ou 3), mais un arrêté qui doit toutefois ennuyer la réseau ferré de France avec ses voies de trains régulièrement désherbées avec cet herbicide.

Maintenant, à la métropole dijonnaise de prendre le même arrêté.

samedi 6 avril 2019

Prise de parole de "Youth For Climate Dijon" au conseil municipal de Dijon

Quatre jeunes du collectif Youth For Climate Dijon sont intervenus au tout début du conseil municipal de Dijon du 25 mars 2019 afin de rappeler les élus à leurs devoirs de protéger la population et notamment les jeunes face aux défis environnementaux.


Le collectif Youth For Climate Dijon avait organisé  la première marche des jeunes pour le climat à Dijon le 15 mars, suite à l'appel de Greta Thunberg.


"Le mouvement Youth For Climate Dijon, est constitué de lycéens des lycées de l’agglomération dijonnaise mais aussi de Côte d’or. Ce mouvement est «apolitique, non-violent, et soutenu par de nombreuses associations écologiques dijonnaises». Il est constitué d’environ 80 personnes avec un noyau fondateur de 10 personnes tous lycéens ou étudiants."
Voici les revendications adressées à François Rebsamen:













Mesures nécessaire, écologie et démocratie :
• Déclaration de l'État d’Urgence Climatique sur la commune de Dijon, voir Métropole. Cette déclaration entraînera la création d’un groupe de travail composé d’élus, de lycéens, étudiants, de dijonnais, de membres d’associations écologistes, d’industriels, agriculteurs...
Ce groupe filtrera les mesures prises pour la communes et travaillera sur les mesures à prendre au niveau de la ville et de la Métropole et les présenteront aux différents conseils.

Transports et mobilités :
• Demande d’une continuité du réseau de pistes cyclables sécurisés sur l’ensemble de l’agglomération, liant les villes et villages en périphérie à un dispositif de transport commun le plus proche pour rejoindre la ville ou les centres d’intérêt. Suivi d’un développement intelligent de parking à vélo aux arrêts des transports en commun où s’arrête une piste cyclable pour en permettre l’usage à un plus grand nombre d’utilisateurs et améliorer la qualité de l’air dans la périphérie de Dijon.
• Développer de nouvelles zones à circulation restreintes.

Consommation et déchets :
• Interdire les lâchers de ballons qui viennent finir leur vie dans nos forêts et parfois jusque dans la mer, polluants par la même occasion de nombreux espaces naturels. Ainsi la ville peut encourager les habitants à privilégier les lampion chinois ou ballons biodégradables.
• Installer et encourager plus de magasins de secondes mains comme des friperies
• Développement d’une carte “Zéro Déchet” qui encourage les dijonnais à ne plus demander de plastique dans les commerces.
• Instaurer au sein de tous les établissements scolaires, bâtiments public, administratifs de Dijon, une liste de mesures obligatoires : // Installer un moteur de recherche alternatif sur tous les postes informatiques comme “ecosia” ou “lilo”, moteur éco responsable qui a déjà permis la plantation de plus d’un millions d’arbres, ou comme Qwant, moteur français et respectueux des données privées des utilisateurs.
// Mettre en place des poubelles à papier et adaptée au tri sélectif
// Mettre en place des collecteur de mégot
• Massifier les composts et augmenter la communication sur ceux-ci afin de diminuer les déchets de foyers. Nous pouvons également aspirer à ce que ce compost soit utilisé par les services publiques afin d’éviter l’utilisation et l’achat de fertilisants au niveau local.
• Dédoubler les poubelles de tri sur l’ensemble de la commune pour qu’il soit plus efficace ainsi que plus sélectif.
• Développement du label commerçant responsable, avec une charte peu exigeante afin d’encourager la végétalisation des façades, le zéro déchet, le tri sélectif et d’apporter une nouvelle clientèle plus responsable à de nouveaux magasins.
• {En lien avec le label} Développer et inciter fortement les commerces à la végétalisation en ville, reboiser les espaces bétonnés pour lutter contre les îlots de chaleurs et améliorer encore une fois la qualité de l’air grâce à l’absorption de CO2 que permettent les arbres et espaces végétalisés. Ces zones de fraîcheurs permettent un rafraîchissement de plus de 4°C, contrairement au changement de couleurs des matériaux de revêtement qui n’influent que de quelques dixièmes de degrés sur la température ambiante.
• Développer les initiatives au bio déchet pour massifier les compostes de quartier en incitant la population dijonnaise à diminuer le nombre de déchets par foyer. Et encourager l’implantation de compostes dans les administrations, bâtiments publics, maisons de retraite, écoles, collège (départements), lycée (région) et université

Agriculture et alimentation :
• Développer le bio local dans les cantines primaires, collégiennes, lycéennes et de tous les services publics à 70% d’ici 2025.
• Interdire dans les cantines les fruits et légumes n’étant pas de saison.
• Développer les circuits courts.
• Développer les zones de maraîchages urbaines et mettre à disposition des espaces partagés de cultivation.
• Exclure définitivement tous les pesticides en ville et proposer cette décision dans les conseils départementaux et régionaux.