Le Journal du Palais n°4181 du 19 au 25 avril 2010 montre en première page un article intitulé "Affichage publicitaire, l'envahissement...", et commence par "les panneaux se multiplient à l'entrée des agglomérations comme à Dijon. Cette forme de publicité rapporte néanmoins plusieurs millions d'euros aux communes".
L'article ne fourni aucune donnée sur ce que rapporte la publicité au communes. Mais on peut lire "la publicité est bien là, enseignes, panneaux, pré-enseignes, sur les bus, le mobilier urbain et les vitrines. Dijon, comme n'importe quelle autre grande ville, est envahie par la publicité dont la plus forte concentration a été observée dans les entrées et sorties d'agglomération. la plus part des dijonnais interrogés trouvent ces affichages extrêmement laids, gênants et les qualifient de véritable pollution visuelle".
La publicité en ville est régie par le règlement local de publicité (RLP). Celui de Dijon est très laxiste, il date des années 1990. La ville de Saint-Apollinaire en possède un (annexe) depuis quelques semaines.
De grandes zones où la publicité est interdite, mais de nombreuses Zones à Publicités Restreintes (ZPR).
Plus le nombre qui suit les lettres ZPR augmente, plus la tolérance aux systèmes publicitaires est importante. Par exemple, la publicité lumineuse est interdite en ZPR 1 et 2, mais autorisée pour les autres.
La ville de Saint Apollinaire a perdu son "esprit village" par ce RLP, et va devenir une ville comme les autres avec de la pollution visuelle abondante légalisée, une ville moche.
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