Le 10 février dernier, Claude et Lydia Bourguignon étaient à Quetigny pour donner une conférence sur le thème "Vie et mort des sols".
Cette conférence a déplacé les foules puisque près de 600 personnes étaient présent.
A cette occasion, Radio Campus Dijon était présent pour réaliser un enregistrement sonore de cette conférence, ainsi que du débat. Voici l'intégralité de cette conférence:
L'enregistrement a été supprimé le 10 mai 2012, à la demande de Lydia et Claude Bourguignon.
Cette histoire des pesticides n'est pas nouvelle. Dès 1962, la biologiste Rachel Carson publia le livre Printemps Silencieux (Silent Spring) qui provoqua une prise de conscience du public aux pesticides et à la pollution de l'environnement, dont le sol. Près de 50 ans plus tard, à Quetigny, la prise de conscience continue... et les pesticides sont encore employés.
Cette histoire des pesticides n'est pas nouvelle. Dès 1962, la biologiste Rachel Carson publia le livre Printemps Silencieux (Silent Spring) qui provoqua une prise de conscience du public aux pesticides et à la pollution de l'environnement, dont le sol. Près de 50 ans plus tard, à Quetigny, la prise de conscience continue... et les pesticides sont encore employés.
4 commentaires:
Le son est un peu faible mais sinon le conférence est très intéressante...!
Le son de la conférence est un peu faible mais celle-ci est très intéressante... Merci Dijon-Ecolo!
> L'enregistrement a été supprimé le 10 mai 2012, à la demande de Lydia et Claude Bourguignon.
=> Pourquoi donc ?
Christophe, Claude et Lydia Bourguignon avaient refusé la demande d'enregistrement vidéo de leur conférence. Radio campus avait fait un enregistrement sonore, probablement sans demande. Enregistrement récupéré ensuite par dijon-ecolo qui l'a mis en ligne pour le partager. Environ un an plus tard, une personne travaillant avec les Bourguignon a contacté dijon-ecolo pour demander la suppression de cet enregistrement.
L'explication ? Les Bourguignon utilisent probablement leurs conférences (payantes pour les organisateurs) pour financer en partie leurs travaux.
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