L'Institut de veille sanitaire (InVS) a étudié l'impact des particules fines PM10 sur la mortalité. Parmi les 17 agglomérations étudiées, seule Dijon respecte le seuil de pollution admis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à savoir 20 µg/m3.
Cette étude, publiée dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire du 6 janvier, rappelle que la pollution atmosphérique tue à très court terme en aggravant brutalement des symptômes préexistants.
"Ces microparticules générées par les gaz d’échappement des véhicules, notamment les moteurs diesel, l’activité industrielle ou les systèmes de chauffage, affectent les voies respiratoires et le cœur, et peuvent provoquer par exemple accident vasculaire cérébral, crise cardiaque, rupture d’anévrisme, angine de poitrine, embolie pulmonaire… Autant de pathologies qui peuvent intervenir dans les cinq jours suivant une exposition. (source: lemonde.fr)
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