Le 17 juin 2020, des citoyens dijonnais créaient un nouveau jardin partagé à Dijon. Le 10 août 2020 François Rebsamen assumait vouloir détruire le lieu. Le 20 avril 2021, François Rebsamen et Pierre Pribetich arrivaient à leur fin en détruisant ce qui avait été construit avec l'aide de CRS et des entreprises Pennequin et Desertot.
La colère grandie partout dans Dijon face à l'acharnement du maire et de son collègue à l'urbanisme, Pierre Pribetich, de construire encore et encore des logements, c'est à dire de bétonner toujours plus la ville.
Une scène incroyable où des militants tentent de lutter comme ils le peuvent. Des CRS qui prennent tous les droits, en repoussant même les curieux présent dans la copropriété voisine. Des CRS qui, le lendemain, s'amuseront à apprendre à tirer des gaz lacrymogènes sur les résistants derrière le mur de la honte. Sortes d'exercices grandeur nature pour ces jeunes CRS juste sortis de l'école...
De nombreuses réactions ont eu lieu via des communiqués de presse, notamment pour dénoncer ce mur de la honte. Une métaphore du village gaullois résistant face à l'oppression romaine.
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