Selon l'ADEME, Les bâtiments contribuent pour 43 % à l’énergie consommée en France et pour 22 % aux rejets de gaz à effet de serre. Les logements existants, construits pour une bonne part d’entre eux avant 1975 alors qu’aucune réglementation thermique n’existait, en sont largement responsables. Partant de ce constat, monsieur Renaud Georges (un dijonnais qui a maintenant déménagé) avait interpellé plusieurs de nos élus (François Patriat, sénateur; François Rebsamen, sénateur; Claude Darciaux, députée; Rémi Delatte, député) pour leur demander d'amender une vieille loi concernant l'aspect privatif des fenêtres (tous les détails se trouvent dans le dossier "L'habitat ancien, c'est 80% de passoires thermiques").
Seuls madame Darciaux et monsieur Delatte avaient répondu à son courrier. Par la suite, monsieur Delatte avait indiqué à monsieur Georges qu'il interviendrait pour faire avancer le problème. Et c'est ce qu'il a fait comme le montre sa lettre en date du 15 septembre et la copie du journal officiel en date du 12 mai 2009.
La réponse du gouvernement n'est pas à la hauteur de l'enjeux économique et écologique car elle ne donne aucune résolution, sans contrainte ni calendrier, comme le fait remarquer monsieur Georges dans sa dernière lettre:
On ne peut que féliciter cet élu qui a été sensible à cette problématique environnementale et a tenu parole.
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